Sermon du 8 février 2013 – par Hadrat Mirza Masroor Ahmad

Dans son sermon du 8 février 2013 Sa Sainteté le Calife a cité d’autres récits ayant traits aux rêves et visions des compagnons du Messie Promis (a.s). Il a déclaré que ces faits démontrent le lien privilégié qu’ils avaient avec Dieu. Ces récits sont tout aussi pertinents aujourd’hui car il y recèle de nombreux conseils pour nous.

Hadrat Muhammad Zuhur ud Din Sahib (a.s.) avait fait sa bai’ah en 1905. Il raconte :

« Un jour, affamé, je me suis allongé sur le lit. Il était midi et ma femme me massait. Je me suis endormi et en rêve j’ai vu une femme vêtue de bleu qui nous a apporté un bol de lait. Elle m’en a offert, me demandant au préalable de le mélanger avec le sucre qui s’y trouvait. Le rêve s’est arrêté là et j’en ai fait le récit à ma femme. Un peu plus tard, une femme portant des vêtements bleus est venue chez nous, un bol de lait à la main : c’était la mère d’un de mes élèves. Comme dans le rêve, elle m’a offert du lait me demandant de délayer le sucre avant d’en boire. Ma femme regardait la scène toute ébahie : c’était le rêve qui se réalisait à la lettre. »

Le Calife a commenté que parfois Dieu accomplit des rêves littéralement comme dans le cas présent. Ceux qui ne croient pas en Lui peuvent dire que c’est une coïncidence, mais Dieu Lui-même avait au préalable informé ce compagnon. C’est ainsi qu’Il manifeste Sa puissance ; Il a mis dans le cœur de cette pieuse femme qu’elle doit soulager la faim de quelqu’un.

Hadrat Maulwi Abdul Raheem Nayyer (a.s.) qui avait fait sa bai’ah en 1901 raconte ceci : « Quand j’étais enseignant dans une école secondaire j’ai eu un désaccord au sujet des sports avec Maulwi Sher Ali Sahib, qui était alors le chef d’établissement. J’ai supplié Dieu au cours de la prière Tahajjud et [dans une vision] j’ai vu inscrit sur du papier les mots suivants : « Pas de tournoi, pas de jeux. » Etant tombé malade je n’ai pas pu participer aux événements ; de plus, le tournoi a été annulé en raison du mauvais temps. Les élèves étaient heureux parce que la révélation divine s’était accomplie. Quand le Messie Promis (a.s.) en a su les détails, il a déclaré que cette révélation s’est réalisée à la lettre et que cela indiquait la pureté de mon cœur.

Hadrat Sheikh Muhammad Atta (r.a) raconte : « Au moment du procès concernant le mur [érigé par un cousin du] Messie Promis (a.s), celui-ci se trouvait à Batala. Il nous a demandé de lui rapporter tout rêve qui se rapportait à cette affaire, parce que Dieu lui avait conféré le titre de « deuxième Yusuf (a.s.) ». En effet le prophète Yusuf (a.s.) avait souffert entre les mains de ses frères ; de même les cousins du Messie Promis (a.s) tourmentaient celui-ci. J’ai raconté le rêve suivant au Messie Promis (a.s) : j’ai vu que je mangeais un melon, mais quand j’ai offert une tranche à mon fils le fruit s’est asséché. Le Messie Promis (a.s) a interprété ce rêve en disant que j’aurais un fils qui allait mourir. Effectivement, par la suite j’ai eu un autre fils qui est décédé à l’âge de onze mois. »

Le Calife a commenté que parfois Dieu accomplit des rêves littéralement comme dans le cas présent. Ceux qui ne croient pas en Lui peuvent dire que c’est une coïncidence, mais Dieu Lui-même avait au préalable informé ce compagnon. C’est ainsi qu’Il manifeste Sa puissance ; Il a mis dans le cœur de cette pieuse femme qu’elle doit soulager la faim de quelqu’un.

Hadrat Maulwi Abdul Raheem Nayyer (a.s.) qui avait fait sa bai’ah en 1901 raconte ceci : « Quand j’étais enseignant dans une école secondaire j’ai eu un désaccord au sujet des sports avec Maulwi Sher Ali Sahib, qui était alors le chef d’établissement. J’ai supplié Dieu au cours de la prière Tahajjud et [dans une vision] j’ai vu inscrit sur du papier les mots suivants : « Pas de tournoi, pas de jeux. » Etant tombé malade je n’ai pas pu participer aux événements ; de plus, le tournoi a été annulé en raison du mauvais temps. Les élèves étaient heureux parce que la révélation divine s’était accomplie. Quand le Messie Promis (a.s.) en a su les détails, il a déclaré que cette révélation s’est réalisée à la lettre et que cela indiquait la pureté de mon cœur.

Hadrat Sheikh Muhammad Atta (r.a) raconte : « Au moment du procès concernant le mur [érigé par un cousin du] Messie Promis (a.s), celui-ci se trouvait à Batala. Il nous a demandé de lui rapporter tout rêve qui se rapportait à cette affaire, parce que Dieu lui avait conféré le titre de « deuxième Yusuf (a.s.) ». En effet le prophète Yusuf (a.s.) avait souffert entre les mains de ses frères ; de même les cousins du Messie Promis (a.s) tourmentaient celui-ci. J’ai raconté le rêve suivant au Messie Promis (a.s) : j’ai vu que je mangeais un melon, mais quand j’ai offert une tranche à mon fils le fruit s’est asséché. Le Messie Promis (a.s) a interprété ce rêve en disant que j’aurais un fils qui allait mourir. Effectivement, par la suite j’ai eu un autre fils qui est décédé à l’âge de onze mois. »

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